Maurice, la cinquantaine cabossée, le regard qui suit le trottoir, pas assez de ciels bleus dans ses yeux. Il sort de prison. Ce n’est pas un héros. Ce n’est pas Jean Valjean, même s’il en a la gueule et le passé. Lui, il n’a pas volé de pain, mais c’est tout comme. Sans bagage, sans boulot, sans droits, sans toit, pas de regards bienveillants de personne, Juste le mépris et l’indifférence.
Il a une idée fixe : retrouver son môme. Pour vivre en filigrane un peu d’amour.