L’eau d’un bleu limpide, bleu translucide qui lui permet de voir les poissons qui glissent sur des ondes invisibles, les crustacés qui trainent leur carcasse ou leur coquille sur le sable entre les étoiles de mers, comme elle, qui se prélassent dans le ressac.
Au-dessus, le ciel de l’univers parcellé d’étoiles qui brillent comme de l’or.
D’un seul regard, elle voit les deux bouts de son univers visible. Que de beauté ! Que d’espace, pour les rêves fous des folles.